Résumé du Caractère Enora semble le plus souvent ailleurs. Aux premiers abords elle donne l'impression de ne pas s'intéresser à ce et ceux qui l'entour. Elle parait réservée mais n'a aucun mal à aller vers les autres. Elle est même assez ouverte dans un sens ci ce n'est qu'elle tente de ne pas trop s'attacher aux personnes qu'elle côtoie. Malgré tout elle ne peux s'empêcher de fouiner dans la vie des autres. Elle lâche difficilement prise quand quelqu'un l'intrigue et manque le plus souvent de subtilité quand elle s’immisce dans la vie d'une personne. Elle est caractérielle et ne supporte pas les reproches. Il lui arrive d'être violente dans ses paroles et dans ses gestes lorsqu'elle est vraiment agacée. Elle semble d'ailleurs beaucoup aimer lâcher ses nerfs lorsqu'elle est seule chez elle.

Je cherche J'aime beaucoup les liens originaux, positifs ou négatifs. Alors n'hésitez pas à faire fuser vos idées. En concret, un / une confidente ne serait pas de refus. En ce qui concerne les liens sentimentaux, il vous ai possible de demander étant donné que je ne compte pas faire le scénario de l'homme de sa vie ! Malgré tout je préférerai voir au bout d'un rp terminé pour concrétiser la demande. Vous n'avez plus qu'à poster si un lien vous intéresse. ♥

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Scarlett B. Caroll Retour aux guerres d'adolescentes. Il y a certaines rencontres que le destin ne nous épargnent pas. C'est l'histoire d'un instant pour qu'une parfaite inconnue devienne l'image même de la parfaite ennemie. J'étais loin d'imaginer me retrouver ce jour là devant la plus assidu des groupies de ce cher Neo. Je me suis vite rendue compte qu'elle était loin d'accepter l'idée de le voir dans les bras d'une autre femme. L'"amour" rends parait il aveugle, et elle en à sans doute fait les frais en croyant que j'étais un obstacle entre elle et lui. Même si je ne suis resté que très peu de temps avec lui, l'agacement qu'elle a fait naître en moi a fini par animer continuellement cette petite guerre sans réel sens entre nous.




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A. ''Delirium'' Moore Du côté de l'obscurité Nous sommes nées dans des mondes différents. Des mondes que j'imaginais semblables mais qui ont fini par nous séparer. Je me souviens encore de ces instants éphémères où nous nous laissions emporter par la passion de l'inconnu, éprises des illusions qui nous permettaient d'échapper au reste. Elle n'était peut être qu'un passage de ma vie, les quelques mètres de chemins qui me séparaient de ma propre réalité. Pourtant je l'ai appréciée comme tant d'autre, et c'est son visage qui me reviens encore lorsque je repense à cette existence secrète que j'ai vécue. Je me suis séparée brutalement de cette obscurité, sans jamais oser recroiser son regard et celui des autres. Il naît encore une certaine douleur en moi lorsque je revois son livre, pour autant je me suis toujours dit que les choses avaient étés mieux ainsi.




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Wendy R. Marlow Type de lien Je me souviens encore de son regard fier lorsqu'elle était enfant, de son air hautain qui m'obligeait à garder le silence. Elle ne faisait partie que de ces visages que l'on ne parvient pas à apprécier, et qui finissent par s'effacer de nos pensées avec le temps. Je crois que je n'avais jamais eu la force de comprendre, d'apprendre la vérité. Jusqu'au jour où les années ont passés, et où j'ai comprit la vérité sur elle. Je ne peux m'empêcher de vouloir la protéger, sans comprendre les raisons qui m'y poussent. Si nos différences nous séparent encore, il reste toutes ces choses et ces sentiments qui font qu'elle est une des seules que j'ai envie de protéger.

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Noah A. Campbell Apprendre l'inconnu Je vois dans ses yeux le visage de ma mère. Un souvenir si douloureux et éphémère qu'il continue de me torturer. Lorsque j'ai ouvert la porte, le regard de ma mère m'est apparut, puis le sien, comme une torture singulière. J'ai refermée la porte sans attendre une parole de la part de ma mère, espérant effacer une nouvelle fois sa présence comme celle de cet homme. Je ne connais rien de lui, je ne connais pas même le lien qui l'uni à ma mère, et je continue pourtant à le haïr dans un certain sens, m'imaginant qu'il représente le bonheur que ma mère à su obtenir en nous quittant.




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Neo T. Springfeeld Type de lien Description du lien. Description du lien.Description du lien.Description du lien.Description du lien.Description du lien.Description du lien.Description du lien.Description du lien.Description du lien.Description du lien.Description du lien.Description du lien.Description du lien.Description du lien.Description du lien.Description du lien.Description du lien.Description du lien.Description du lien.Description du lien.Description du lien.Description du lien.Description du lien.Description du lien.Description du lien.Description du lien.Description du lien.




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Evan J. Hewson Si j'avais eu l'utilité d'un Psy. Je me suis toujours demandée pourquoi j'avais acceptée l'idée que j'avais besoin d'un psy. J'étais pourtant loin de m'intéresser à cette nouvelle mode qui consistait à livrer toute sa vie à un étranger. Mais la perspective d'avoir toute l'attention d'une personne qu'elle qu'elle soit à fini par me faire changer d'avis. Je ne suis pas vraiment sur de prendre la chose très au sérieux. Ca aurait pu me rendre plus ouverte, mais étrangement je n'ai jamais vraiment su quoi lui dire. Je lui parle de choses sans grand interrêt, et j'essaye la plupart du temps de prendre sa place en lui posant des questions. La déconcertation que je constate parfois dans son regard m'amuse, et même s'il m'arrive de faire l'école buissonière, j'ai fini par apprécier nos petits rendez vous mensuels.




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Danny Bishop Quand on se joue de tout J'aimerai pouvoir dire que les chances de se retrouver menotter à un policier durant une nuit entière sont pratiquement égales à zéro. C'était sans doute sans compter sur les possibilités de se retrouver sous l'effet de l'alcool devant un représentant de l'ordre. Autant dire que ce petit manège qui m'a liée à lui était loin de m'amuser sur le moment. Je n'ai jamais rencontrée une personne aussi dépourvue de raison. On fait sans doute partie de ces personnes incompatibles sur tout les points de vues. Pour autant je ne peux m'empêche de sourire en repensant à cette guerre insensée qu'on s'est déclarée.




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Paul Howell D'un balcon à l'autre Tout commence par un signe, un sourire, un dessin, quelque chose qui sans qu'on s'en rende compte devient indispensable. Notre conversation muette m'est devenue indispensable. Elle est comme un bol d'air frais qui me sort de mes journées monotones. C'est si stupide quand j'y pense. Je ne connais rien de lui, et il semble le seul avec qui tout est simple. Sans doute parce qu'il n'y a jamais eu de mots. Je n'ai jamais osé m'approcher de lui dans la rue, préférant cette simple relation qui nous confine sur nos balcons respectifs. J'aimerai entendre sa voix, mais j'en viens à redouter de perdre ces moments insignifiant qui me mettent pourtant de bonne humeur.