Sujet: James Fletcher Δ Die, die, die Lun 30 Juil - 12:13
A. James Fletcher
Something's wrong with me
nom
prénom
âge
FLETCHER
ALEX JAMES
DIX-SEPT ANS
orientation sexuelle
statut
groupe
HÉTÉRO
CÉLIBATAIRE
PRISONERS
LISTS
HORS JEU
Je m'appelle Aleks et j'ai 17 ans trois quarts . Je suis un pedobear en puissance, qui aime les sucettes. *pouet* Prisoners RPZ . Je pense que je me connecterai 7/7 jours, et j’accepte de prendre le risque de voir mon personnage se faire laminer laggle dans le jeu Animals et de le soumettre à toute sorte de torture. J'aime mes admins, qui sont à présent mes nouveaux dieux. (a)
PERSONNALITÉ
Tu peux pas définir quelqu'un comme ça, avec des mots, des images. C'est pas possible, t'as toujours des nuances et des facettes qui restent dans le noir. James c'est un jeune comme les autres, un gamin qui a pas eut de chance, écorché par la vie. Tu peux pas lui en vouloir d'être devenu comme ça, parce que d'un côté, tu sais que t'aurais fait pareil. Tu sais que t'aurais pété les plombs, que ça se serait passé comme ça. Tu l'entends mentir, tu le vois sourire, et tu sais que tout est faux, tu sais que chez lui tout est caché, qu'il ne laisse jamais rien paraître. Tu sais qu'il est faible, au fond de lui, que c'est la peur qui dicte ses actes, même si il n'ose pas l'avouer. C'est pas un fou, c'est juste un con. Un minable petit con malchanceux comme il y en a tant d'autre. Un petit jeune violent qui cherche les embrouilles et qui aime se battre, un gamin traumatisé par ses tuteurs misérables, un garçon sans règles, sans rien. Perdu. Ouais, c'est ça, c'est bien le mot. Perdu.
La part d’innocence qu'il portait en lui a disparu depuis longtemps, bien trop longtemps, et les espoirs qui porte sur l'humanité sont bien trop faibles. Il a bien comprit qu'on est jamais mieux servi que par soit même, et que s'allier n'apporte que des ennuis. Faut pas trop faire confiance aux autres, on sait jamais sur qui on tombe. James est pas très bavard, c'est pas trop son fort la communication, il préfère gribouiller, ignorer le monde jusqu'à ce qu'on lui foute la paix.
HISTOIRE
Le père de James a disparu quelques mois après la naissance du garçon. Pas prêt à assumer ça, qu'il disait. C'est ça, c'est ça, on y croit tous, pas vrai ? Enfin bref, ce qui est fait et fait, et c'est seule qu'Anabelle Fletcher éleva son fils. Enfin, partiellement seule. Plusieurs hommes ont défilé dans leur petit appartement, toujours du même type. Le genre de raclures, de violents et d'alcooliques. Ils ne restaient pas bien longtemps, disparaissaient après avoir vidé la cagnotte familiale. Pourtant, lorsque James a eut treize ans, Blake est arrivé. Blake, était propriétaire d'un bar, Blake avait une tête de gentil, une espèce de confiance en lui qui le rendait génial, et pendant deux ans, on peut dire sans se tromper que tout est devenu normal. L'adolescent enchaînait les conneries, se testait un peu, essayait des choses tandis qu'à la maison, un large sourire s'épanouissait sur les lèvres de sa mère. C'est bien, on est content, tout roule. Mais ça ne dure pas. Ahah, vous vous en doutiez n'est ce pas ? Non mais c'est vrai, vous vous croyez où enfin, dans un conte de fée ? Vous n'avez pas bien lu ? "Prisoners", c'est pourtant marqué sur le dossier ! Non mais vraiment...
Le bar coule, la faillite guette la famille Fletcher, Blake se fait violent, agressif et vulgaire. Il dort peu, disparaît chaque soirs et rentre alcoolisé, désespéré face à la perte de son emploi. Il engueule un peu trop Anabelle, tape trop souvent sur James. C'est un quatorze juillet que la catastrophe survient. L'homme rentre totalement bourré, et a la main un peu lourde. Le coup part bien vite pour une broutille, et la maîtresse de maison finit rapidement à terre, une trace rougeâtre sur la joue. James ne réfléchit pas, et aidé par l'adrénaline s'interpose, la batte de baseball du type à la main. Il frappe trois fois. Le sang gicle, et Blake s'écroule. Ils auraient pu appeler les urgences, faire venir une ambulance, mais ils ne font rien. Ils regardent simplement le corps par terre, son crane ouvert et ses yeux exorbités.
C'est au centre de redressement pour mineurs qu'est envoyé James. "Violences répétées, meurtre". Le verdict est sans appel, et le garçon troque bientôt ses jeans contre une combinaison orange vive.