Détroit, ville du soit-disant pays le plus puissant du monde : Les Etats-Unis, pays qui avait finit par s'écrouler et à se voir sombrer dans le chaos qui aurait toujours du être sien . Revenons à la ville de Détroit depuis toujours cette citée est le dépotoir d'un pays qui y est le nid des sérials killers et de divers gang stupides et barbare et c'est dans cette décharge de l'humanité qu'il y à vingt-cinq ans est né le jeune Aaron Kyle Lecter.

Fils d'un policier de la criminelle accro à la poudreuse par lignes sur table et d'une mère alcoolique qui semblait essayer de distiller de l'éthanol de contrebande avec son foie, l'enfance d'Aaron n'eût rien de festifs, de joyeux ou même de magique . Et la ville de Détroit de sa naissance et de son enfance est loin d'être un cadre idéal pour un jeune enfant avec une famille à problème. En effet le jeune homme est né en 2048, et son enfance se déroulât dans la Détroit Autarcique, avec ses rues délabrées, ses immeubles en ruines qui côtoyait des villas flambant neuve, et surtout ses immenses murs orné d'un sublime barbelés électrifiés, niveau exécution Texane . C'est donc avec une famille à passer dans une émissions dramatique et une ville digne d'un roman d'anticipation post-apocalypse que grandit Aaron .

Sa vie parût donc , vue de l'extérieur sans les détails banales, il alla en maternel, et dans une école primaire, le tout dans la banlieue où il habitait, et sa scolarité ne fût ni exceptionnel , ni désastreuse, mais basique, Aaron apprenant normalement, se montrant plus ou moins bons selon les cours du jour. Ce début de vie n'eût pas grand choses de marquantes, si on oublies les disputes incessantes de ses parents, son père rentrant tard et saoul et sa mère ne cessant de rester à la maison à se doper. Et quand Aaron fondait en larmes de voir ses parents, qu'il aimait malgré tout, l'âge de la rébellion n'étant pas encore, un beau bleu ornait son ventre, et il était mis au lit.

Puis vint les années collèges, ses années de découvertes et de formation de soit, ses années furent un peu plus rose, dans l'optique où Aaron avais la possibilité de rentrer plus tard chez lui et donc retarder le moment où il devait affronter les crises de ses parents, et leurs coups, quand ses notes cessaient de plus satisfaire son père, où alors son allure " de pédale ! " .

Quand il rentrait, cela n'était pas une partie de plaisir, les assiettes volaient en tout sens ainsi que les insultes, et quand Aaron voulait calmer ses parents, un cocard venait orné son visage, et des hématomes son ventre. Ses études au collèges se passèrent bien, il fe fit quelques amis, des gens sympathique et compréhensif . Sa vie sociale se déroulait plutôt bien, peu d'ennemis et quelques amis. A titre d'information, sa première fois eu lieu à quatorze ans après une soirée arrosée .

Plus les années passèrent, plus la relation entre ses parents se dégradait, que ce soit leur couple comme la façon de tracté Aaron, les bleus devinrent hématome et les hématomes, des plaies. Et cette escalade ne cessât pas , continuant encore et encore....

C'est dans ce cadre que vinrent ses années lycées. Fêtes, filles, mecs, tabac. Et non pas d’alcool et de drogue, le comportement de ses parents sous leurs influence le rendant hermétique à leurs approche, et ceux qui ont insisté pour qu'il essaye on eu le droit un cocard, alors qu'Aaron n'est pas violent.

Ses années furent les plus libre, heureuse et... Douloureuse pour Aaron. En effet si diverses excuses lui permettait de ne pas rentré chez lui et de danser et copuler pour oublier sa vie des moins amusantes, en rentrant, la raclée pour un motif souvent des plus insignifiant, s'en trouvait décuplé, de façon à ce que le jeune blond perde au total plusieurs mois de cours à cause de fracture, au cours de son lycée. Même si il était clairement battu et maltraiter, jamais Aaron ne se plaignit ou encore ne rendit les coups à ses parents, la violence lui faisant horreur, et surtout il ne désirait pas s'abaisser à leurs niveaux. Et ainsi se termina son lycée... Dont il ne sortit pas avec le diplôme, car le jour des examens, son père lui avait fracasser les doigts., prenant le fait qu'il passe cet examen comme de l'insolence et une tentative de le rabaisser, évidemment il était saoul, comme à chaque fois qu'il rentrait, ne buvant pas en service pour garder son emploi au sein des soit-disante forces de l'ordre.

En effet la vie déjà peu joyeuse du blond prit une tournure dramatique. Il avait vingt ans, et travaillait depuis deux ans comme serveur dans un restau du coin, pour économiser et fuir la ville, loin de ses géniteurs... Un soir comme un autre, il rentrait, plus tôt que d'habitude qui plus est, et la scène sous yeux l’horrifiât. Les meubles renversées, du sang partout , et suivant le sang, sa mère, couteau de cuisine à la main, des balles figées dans sa chaire, et son père, couvert d'entaille, ventre ouvert, son arme de service au poing. Et là tout prit fin, une balle sortit du canon rugissant mit fin aux jours de sa mère, tandis que son père mourrait de ses blessures.

Pas de familles connues, son petit boulot ne rapportant pas assez, plus de toit, plus rien, et très vite il ne pût faire que la seule chose que ses talents naturel lui permettait : se prostituer, son corps qui n'était pas repoussant, en échange d'un toit et d'argent, et ce depuis deux ans, tel est la vie d'Aaron.